Avec « Clear », troisième album en clair-obscur de son projet That Summer, David Sanson signe une douzaine de pop songs tout à la fois pastorales et urbaines, mélodiques et mélancoliques, dépouillées et raffinées, qui doivent autant à Brian Eno qu’à David Sylvian, à Hood qu’à Depeche Mode.
Un disque fleuve et apaisé, hymne à la voix et au piano, qui prend sa source dans de multiples énergies (de l’électricité au numérique) pour déboucher bien loin des modes.