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Biographie

Après “Progress Reform” (2006) mini album aux accents glorieux, épiques et sombres, on était un peu tristement resté en gare, sans perdre de vue le rail.

“Elegie To Lessons Learnt” (Beggars, 2007) premier long format, et dans la foulée une poignée de singles (‘The Deception’, ‘We Go Hunting’), un maxi de noël instrumental (‘The Christmas Tree Ship’, 2008) ou le départ du cornettiste Ashley Dean (réalisateur de nombreuses vidéos pour le groupe ainsi que du remake du clip de Sledgehammer / Peter Gabriel).

Quelques longues tournées européennes : en ouverture des mythiques Sisters Of Mercy ou de The Editors, et via de nombreux festivals (Angleterre, Allemagne, Benelux, Pologne ou Grèce).

On explore depuis de long mois déjà les méandres lumineux de ce nouvel opus. “He Who Saw The Deep” soit l’envie de tourner les regards vers l’avenir.

Le froid sec de Leeds comme terre d’accueil mais la richesse des profondeurs pour unique terrain de jeu. Tendu mais serein, intérieur dans sa conquérance, crépusculaire parfois, mais toujours majestueux. Saisissant de beauté.


Discographie
He Who Saw The Deep

Album , CD, LP / VINYL + MP3
Tal-058 — 2010


    « He Who Saw The Deep » est le second album de I Like Trains.

    Le froid sec de Leeds comme terre d’accueil mais la richesse des profondeurs pour unique terrain de jeu. Tendu mais serein, intérieur dans sa conquérance, crépusculaire parfois, mais toujours majestueux. Saisissant de beauté.



    « I like trains, comme le nom du groupe le suggère, s’apprécie effectivement comme un long voyage en train à travers l’Angleterre en hiver. Il s’en dégage une fausse sensation de grisaille et de monotonie qui, lentement, révèle, au-delà des paysages embrumés, des reliefs captivants des plus propices au rêve, à l’enchantement. » Télérama fff

    « Le spleen, en première classe et tout confort. » Les Inrockuptibles

    « A la fois aérien, impétieux, sophistiqué et romantique, ‘He Who Saw The Deep’ triomphe dans l’épreuve du second album et assoie I Like Trains dans le giron des formations les plus raffinées de ces dernières années. » C. Fagnot, Noise

    « Un rock assez sombre et alangui qui devrait plaire aux fans de The National », S. Fanet, TGV Mag.