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Outre une brève apparition lors d’une tournée européenne en février 2008 à l’occasion de la ré-édition de ‘The Forbidden ep Alas‘, on avait peu de nouvelle de Jeff Martin depuis « The Lone Gunman » (Talitres, 2005). Disque émouvant d’un homme désormais en totale autarcie, seul maître à bord de l’aventure IDAHO, le songwriter californien accomplissait là un album de transition, une œuvre en clair-obscur, délaissant les guitares au profit des claviers.
Figure tutélaire du mouvement slowcore, fondé en Californie à l’orée des années 90 par Jeff Martin et John K Berry, IDAHO traverse les styles et les modes loin des contraintes commerciales, canevas sonore patiemment tissé, fragilité noire d’une musique onirique et ouatée.
Enregistré dans la maison de Jeff Martin à Laurel Canyon, quartier situé sur les hauteurs de Los Angeles, ce nouvel opus, le huitième (et autant de maxis ou de singles ainsi qu’une poignée de compilations qui regroupent raretés ou inédits), demeure l’œuvre d’un homme seul, accompagné çà et là par le chant doux et hypnotique d’Eleni Mandell.
A mi-chemin entre l’épure de « The Lone Gunman » et le bouleversant « Alas », « You Were A Dick » alterne les perles lumineuses, les tempos plus rapides (« The Space Between » ; « Up The Hill ») et les haïkus instrumentaux.
Jeff Martin compose également depuis dix ans diverses bandes originales pour le cinéma ou la télévision. “The Serpent and the Shadow”, film qui a lui-même réalisé et pour lequel il a composé la musique, vient d’être sélectionné au festival de cinéma de Manhattan.
Enregistré dans la maison de Jeff Martin à Laurel Canyon, quartier situé sur les hauteurs de Los Angeles, ce nouvel opus, le huitième (et autant de maxis ou de singles, ainsi qu’une poignée de compilations qui regroupent raretés ou inédits), demeure l’œuvre d’un homme seul, accompagné çà et là par le chant doux et hypnotique d’Eleni Mandell.
A mi-chemin entre l’épure de "The Lone Gunman" et le bouleversant "Alas", "You Were A Dick" alterne les perles lumineuses, les tempos plus rapides et les haïkus instrumentaux.
"Idaho, beau à pleurer." D. Peron, Libération.
"Le groupe le mieux gardé de la pop anglo-saxonne est, peut être, ce formidable groupe californien, qui distille depuis quinze ans une musique miraculeuse et hors du monde" S. Fanet, TGV Mag.
"Larsens, bidouillages, pizzicati de violon, piano, clochettes voire basson habillent discrètement des chansons somptueuses, douces rêveries qui hantent un spectre sonore beau et infini comme une voûte étoilée." V. Théval, Magic.
"Finesse, passe-passe, magie, savoir faire, ou un des quatre….depuis plus de quinze ans Idaho se mérite. Cette ré-édition est enfin là pour rappeler l’importance de ces maîtres du sadcore". M. Zisman, Rock & Folk.
"Paradis folk" J. Lesieur, Métro.
"mélodies précieuses et cristallines figeant définitivement l’émotion dans l’admiration mélancolique" Les Inrockuptibles
"Chef d’œuvre d’une plénitude absolue" Magic
"Sous l’austérité, un des beaux disques abattu cette année" Newcomer
"Ce dernier opus s’immisce étrangement entre les préludes de Chopin et le mythique Kid A de Radiohead" Optimum
"Idaho réussit 17 fois à toucher son auditeur, là où Mercury Rev peine désormais à toucher l’essence des sens." Benzine Mag.
"Un grand disque qui peut s’écouter aussi bien religieusement que d’une oreille tranquille et distraite, tant ses mélodies tiennent à la fois du beau et du familier." Popnews
"Voilà un génie, un vrai." Pinkhusion
"Si vous ne connaissez pas encore l’univers de Jeff Martin, il est encore temps de changer la donne et de plonger la tête la première dans ce monde majestueux et intemporel." Les Choses.com