• Tex La Homa

Biographie

TEX LA HOMA, en référence au roman de Douglas Coupland « Generation X », est le projet de Matt Shaw, songwriter, musicien et producteur anglais, ainsi que membre fondateur du label Superglider.

Déjà à l’origine d’une discographie fourmillante (un premier album « Dazzle With Transience » chez Superglider en Angleterre et Painted Sky Disc au Japon, trois EPs, et des apparitions dans diverses compilations) « If Just Today Were To Be My Entire Life » est le second long format de Tex La Homa.

Profondément cinématographique, la musique de Tex La Homa dévoile mélancolie, mêle chant (chuchotements) et distorsions, guitares lo-fi et poudres électroniques.


Discographie
If Just Today Were To Be My Entire Life

Album , CD
Tal-013 — 2004


    « If Just Today Were To Be My Entire Life » est le second album de Tex La Homa, projet post-rock de Matt Shaw, jeune anglais originaire du Dorset. Pop songeuse et mélodies en coton nostalgiques des sorties du label Sarah Records.



    « malgré leurs gestes lents, leurs bras émaciés et leur teint pâlichon, elles assènent avec force imprévisible un terrible coup de bambou, de ceux que pouvaient autrefois réserver les frêles St. Christopher ou Field Mice. La revanche du mollusque sur le muscle. » Les Inrockuptibles

    « En douze plage climatiques oscillant d’une à six belles minutes (Alice Street et la flûte mutine de Natalie Shaw), ce disque offre une telle vue panoramique qu’il est impossible d’y résister. Observée d’ici ou d’ailleurs, une chanson comme Make It Worth It déploie des trésors de paresse cotonneuse, auxquels les frimas hivernaux siéent idéalement. C’est que Matt Shaw, seul maître à bord de son embarcation musicale, sait être aussi loquace que mutique, se pliant harmonieusement aux ambiances cinématographiques qu’on jurerait composées au milieu de la banquise. If Just Today Were To Be My Entire Life ou le mot de passe d’une excursion infiniment exquise. » Magic

    « Multi-instrumentiste émérite, le Britannique Matt Shaw élargit ici son registre en offrant à ses guitares claires comme de l’eau de roche une petite virée au pays des musiques électroniques, transformant certaines de ses chansons en véritable odyssées pop de poche. Onirique. » Rolling Stone

    « C’est la dernière signature de l’exemplaire label bordelais Talitres, écrin de spleen urbain abritant les plus beaux écorchés du genre, de Calla à The National, qui partagent désormais le trône avec, pour changer, un anglais. Ce Matt Shaw qui, derrière un pseudo emprunté au Generation X de Coupland, s’avance en déchirant adepte du songwriting de retrait, artisan du murmure qui, appuyé sur des arpèges ethérés et d’indicibles frottis de machine, relierait Mark – Red House Painters – Kozelek à Vini – Durutti Column – Reilly pour ce premier trésor désolé de 2004. » Nova Mag.